Je suis pas beaucoup allé au cinéma, l’année dernière. Je crois que Netflix et le jeu vidéo m’ont un peu soûlé des salles, ou peut-être à cause du prix des places et des mauvaises expériences que j’ai presque systématiquement. Néanmoins, certains films se voient sur un écran géant, et c’est le cas pour SPIDER-MAN
SPIDERMAN spiderman spiderman
Miles se fait piquer par une araignée et développe des pouvoirs de Spiderman, pourtant y’a un autre Spiderman et puis un autre encore et ça part vite en cacahuète en turbo-cool avec des mondes parallèles et des version de l’ « homme »-araignée tout aussi cool.
Difficile, vraiment, de trouver pourquoi ce film est magique. Parce que finalement c’est une origin-story qui semble très classique. Le twist , c’est que la naissance de Spiderman se fait avec d’autres Spiderman.
Et puis on se laisse porter par la direction artistique et les personnages, c’est une torrent de bonne idée, une claque de fraîcheur, une modernité qui fait plaisir, autant par la réalisation que par les thématiques. C’est bluffant et ça fait plaisir à voir, c’est une vague d’image et de feel good qu’on se prends pendant deux heures.
La réalisation arrive à faire un lien entre la musique, l’image, le cinéma et le comic. J’ai pris ce film comme un mètre étalon de l’animation moderne. Et tout ça c’est sans parler de l’amour qu’il y a pour les comics dans ce film, pour Spiderman évidemment mais pour la culture pop geek et de façon intelligente pas comme l’autre relou de Ready Player One, Spiderman c’est le geek cool et ce film aime son Spiderman