# Critique ciné

Happiness Therapy

Happiness Therapy en salle le 30 janvier 2013

Happiness Therapy, un film qui met en scène deux déjantés qui essaient de reconstruire leur vie. Le personnage central, Pat, a pété les plombs, finit en hôpital psychiatrique et perd femme, travail, maison. La seconde, Tiffany, a perdu son ancien mari avant de coucher avec tous les gens de son boulot et a fini elle aussi avec la cervelle retournée à devoir retourner vivre chez ses parents. Bienvenue chez les écorchés vifs à tendance lunatique.

Happiness Therapy c’est une belle comédie romantique, avec des personnages barrés et rien de très imprévisible. Pat et Tiffany vont s’aider à se reconstruire, se donner un challenge commun matérialisé en un tournoi de danse. Robert de Niro en roue libre dans le rôle du père de Pat nous fait rire en joueur superstitieux et accro aux matchs de football américain, mais il n’apporte rien à un petit film sympa et bien joué.

Les deux personnages sont très attachants, l’histoire est drôle, les acteurs bon, ça se laisse filer sans souci et pour une fois qu’un film romantique c’est pas trop sirupeux..

Bref on est ressorti de la salle avec le sourire, le film a plu, ce n’est pas le chef d’oeuvre du siècle mais dans sa catégorie il fait des étincelles. A voir même pour les allergiques de la comédie romantique made in Hollywood.

Pour les infos techniques, le casting, il reste la fiche Hapiness Therapy sur Allociné.

Note sur 10 7
Une belle comédie romantique que certains tenteront de placer dans le dramatique à tord tant elle finit par vous arracher de longs sourires. De bons acteurs, une scénario sympa et original même s'il manque de surprises. Un bon moment sur grand écran. Yep.
  • Pat et Tiffany, joli couple d'écorchés
  • L'histoire et quelques situations, vraiment drôles
  • Pas de rebondissement
  • Robert de Niro qui cachetonne pour se payer une nouvelle piscine en marbre rare

à suivre

Commentaires

Les commentaires sont fermés.

à lire aussi

Articles similaires

# Cinéma
Bamako
# Critique Ciné
Les seigneurs
# Critique Ciné
Hôtel Transylvanie