Vous l’avez compris, je suis assez fan de la gamme Fujifilm « x », notamment pour leur superbe capteur. D’ailleurs, il faut croire qu’ils ont confiance en leur petit bijou, car voilà qu’arrive une autre version , le xm-1. Oui, j’en ai déjà parlé y’a un bout de temps, mais cette fois j’ai pu l’avoir dans les mains !
Prise en main
Comme ses grand frères, l’appareil est très joli et arbore un style vintage à première vue flatteur. On m’a encore demandé si le bouzin était un argentique, parfois pour rire je dis oui. J’invente un argentique avec un écran LCD. Mais revenons au xm-1. Par rapport au x-e1 ou x-pro1 , on a un appareil qui tient vraiment dans la poche, de petit format, très mobile, avec un pancake c’est carrément la taille d’un compact classique avec peut-être le meilleur capteur APS-C du marché ! Oui, voilà son point fort, sa taille !
Mobile
Sa taille et sa fonction wifi en font un appareil très mobile, très urbain. La qualité photo est exactement que celle de ses grand frères, ce qui est assez bluffant – et même si je n’ai pas pu le tester, je le crois volontiers. Pourtant, sur ce modèle, Fujifilm a décidé d’utiliser une molette « classique » : fini la trinité photo des autres modèles, on a une molette très classique qui permet de changer de mode simplement, et il y a même une sorte de super mode automatique qui appliquerai presque un filtre si on le laissait faire !
Alors oui, ce Xm-1 est une bombinette, mais la prise en main n’est pas faite pour l’amateur de photo éclairé, mais pour l’amateur de photo à la volée : un appareil qui fera son effet « waw » plusieurs fois, lorsqu’on le sort et lorsqu’on prend la photo. Mais si on veut être créatif, c’est moins probant. Un choix qui se comprend : il suffit de passer sur le x-e1 pour avoir le bon compromis maîtrise et mobilité. Le Xm-1 semble, lui, bien désigné pour être ultra mobile et sur ça on ne rien lui reprocher, c’est tout bon.