Un parc d’attraction hanté. Un joueur de baseball blessé à qui on greffe un bras bionique. Des super-coups dignes des plus grands moment d’Olive et Tom. Une vache venue de l’au-delà en guise de guide mystique. Le tout piloté par Kinect. Tous les ingrédients étaient là pour passer une bonne soirée.
Raté.
Le « pitch » (haha) du jeu partait pourtant bien. Manque de bol, la sauce ne prend pas. Mais alors, pas du tout. On va pas épiloguer pendant 107 ans : le jeu est mauvais. Les graphismes sont laids, les bruitages rigolos mais sans plus, le gameplay (ça n’existe pas) est pas super bien calibré, on s’emmerde très rapidement passé le deuxième monde.
Allez, un petit mot sur le gameplay (ça n’existe pas). Le jeu se décompose en mondes et chaque monde en niveaux. Chaque niveau est une arène fixe où des vagues de monstres arrivent pour vous bouffer. En faisant un geste du bras style lancer de balle de base-ball, vous buter les monstres. Des bonus apparaissent parfois, vous permettant de charger une de vos 6 super-attaques. A la fin de chaque monde, un boss.
De temps en temps, un monstre vous balance une balle à la tête, il vous faudra alors mimer devant votre Kinect le geste du receveur (un coup à gauche, un coup au milieu, un coup à droite…). S’il vous lance une lame de scie circulaire, il faudra vous baisser. Vous pouvez également « kicker » les monstres qui se retrouvent juste devant vous.
Et voilà, c’est tout.
Une réponse à “[Test XBLA] Diabolic Pitch”
Mince. Merde. Fichtre.
Vivement lollipop chainsaw alors.