Blazblue, un nom de jeu qui n’est pas encore dans la bouche du grand public. Certains le connaissent de renom, souvent c’est sa qualité graphique qui est mise en avant, normal c’est ce qui nous surprend au premier abord. Mais cette nouvelle version, continuum shift, va tenter de démocratiser ce versus game exigeant.
BB : CS
Ce jeu est la suite de Calamity Trigger, mais pas besoin d’avoir joué au premier pour comprendre l’histoire. Enfin si vous voulez la comprendre, car c’est encore assez dense et complétement capilotracté. Une histoire de pouvoir magique à protéger ou à utiliser pour sauver le monde, mais bon c’est bien trop compliqué pour que je me sente concerné par le sort du monde. Néanmoins, les relations entre personnages et le mode « histoire » aident pas mal pour appréhender cet univers. Dans les faits, de la baston, du versus et ça poutre !
Complet
Bon c’est 2D, non non pas 2.5D. Du pur 2D qui flatte le regard, les sprites sont détaillés mais c’est seulement ça, c’est l’animation psychédélique de chaque combat. Du fond, aux effets des combos, tout explose à l’œil. Le char design est manga mais vraiment original, chaque personnage à son style graphique toujours en accord avec l’univers.
Aux 14 personnages de base, on peut en ajouter 2-3 sur le PSN. 14 peut sembler peu, mais les maîtriser devrait vous prendre du temps, beaucoup de temps. En effet chaque personnage a un style de combat particulier, la base est la même, faible-moyen-fort mais chacun a une technique spéciale appelée « Drive » qui change complétement la façon de prendre en main le personnage. Heureusement un nouveau mode – entraînement – va vous sauver la vie ! En effet, on pourra enfin comprendre ce qu’on fait et l’investissement paie ! Très vite, on comprend la profondeur du gameplay et on prend son pied. Les noobs aussi prendront leur pied, en effet un mode « débutant » est présent vous permettant de prendre du plaisir avec un minimum de coups.
Une réponse à “[Test PS3] BlazBlue: Continuum Shift”
Très bon jeu, ma rétine est tombée amoureuse de son univers.
On prend plaisir à faire des combats, sous peu qu’on connaisse un minimum de combo pas toujours très facile à sortir ( ceux très long qui visuelement déchire, et envoie du fat paté )
Sinon, soulignons le didacticiel très complet, que j’ai beaucoup aimé.