J’ai adoré The Voices, ce film m’a laissé sur mon séant, la bande-annonce une sorte de comédie dramatique à la Tim Burton, mais non c’est autre chose encore, c’est fin et fou, ça vous laisse tout chambouler.
The Voices
Jerry Hickfang est un mec bien, il travaille dans une boîte qui fait des baignoires. Jerry a un faible pour une jolie femme et essaye de la serrer. Jerry écoute trop son chat, parce que oui, son chat et son chien lui parlent.
Vous avez compris, Jerry est un peu bizarre, mais bon il arrive à vivre avec ça, jusqu’à un accident.
Merveilleux
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— Monsieur Moustache (@TheVoicesFilm) March 12, 2015
Le film est une merveille. Ce n’est pas une comédie, ce n’est pas un film gore. Si j’étais branleur je dirais que c’est un super film sur la folie. J’ai beaucoup aimé son traitement, Jerry essaie de s’en sortir, de ne pas écouter son chat, de suivre les idées de son chien, de sa Psy mais la vie est morose s’il le fait. Sa folie le rassure, lui fait voir les plus belles choses de la vie.
Les meurtres ne sont ni gores et ni voyeur, ce n’est pas ce genre de film. Les moments les plus stressants ne se passent pas là. La réalisation est intelligente, on est bien stressé par moment mais de façon complètement incongru, on sourit aussi à d’autres passages surprenants. Oui voilà, The voices se fout un peu de toutes les grosses ficelles de l’écriture d’un film. C’est une façon intelligente de nous parler de la folie, parfois édulcorée, mais elle me semble assez juste. C’est beau la folie mais c’est c’est beau que pour le fou dans ce cas là.