En général, j’essaie de jouer aux jeux vidéo, à leurs sorties, parce que je suis passionné par ce qu’il peut générer en terme de ressenti et de discutions avec le gens. Il arrive que je passe à coté de bijou, comme ce jeu, sorti en 2017 , que j’ai fait une matinée pleine de spleen en 2019. C’était magique.
L’exporation narrative
Un des aspects les plus artistiques du jeu vidéo, c’est sa façon unique de racontée une histoire. Non le poncif, qui dit qu’on est actif, ne fait pas du jeu vidéo une oeuvre d’art. Je pense plus simplement que le jeu vidéo permet de raconter les choses d’une manière un peu plus intelligente, celle où on réfléchit à nos mouvements, nos actions, qu’elles ont pas un poids pas forcément sur le jeu ou sa fin, mais sur nos émotions. What Remains of Edith Finch, c’était exactement ça. Ah oui faut que je vous en parle du jeu aussi !
Le jeu n’est pas un jeu d’horreur, c’est bête mais c’est la raison pour laquelle je n’avais jamais acheté le jeu. C’est une exploration narrative, avec des idées de gameplays très intéressante. On va visiter la maison « Finch » est découvrir l’historie de chaque membre de la famille, qui suite à une malédiction, ont toujours eu des fins particulières.
On va de chambre en chambre, on découvre des pièces, des souvenirs, un story-telling basé sur le gameplay mais aussi par l’ambiance, l’architecture de cette maison atypique. Une mélancolie douce règne tout le long de cette aventure, aidé par une musique qui m’a marquée. Le jeu est en français et c’est important, car beaucoup de détail sont placées dans les mots, les rimes, les souvenirs.
Beaucoup de chose, ont été dites sur le jeu. Il a gagné un BAFTA et ça fait deux ans que la presse l’essence à raison donc ! Je conclurai simplement que c’est un jeu au quelle vous devez jouer maintenant.
