# Série Pas Culte

Dollhouse de Joss Whedon

Vous allez aimer mes images

Je continue dans sériophagie aiguë, et il me restait une dernière série de Dieu Whedon. Dollhouse, une histoire de poupée sexy qui remplit des missions bien louches. J’avais été intrigué par le pilote et les premiers épisodes et puis j’avais abandonné, les retours n’étaient pas très positifs et j’avais peur du résultat.

Dollhouse

Une série qui ne durera que 2 saisons, une première un peu moyenne où l’intrigue tourne autour d’un personnage inconnu « alpha » et des capacités montantes de « echo », notre belle Eliza Dushku, l’héroïne. Une seconde saison de meilleure qualité mais qui va trop vite, la fin de la série étant programmé pendant la diffusion.

Du bon fanservice

On apprend ainsi comme marche une doll : des humains programmés avec une personnalité qui n’est pas la leur, dans le but de remplir des missions. Le tout géré par une entreprise bien sombre, tout ça vous rappellera peut être Angel, en effet les points communs sont nombreux, l’entreprise comme grand méchant de la série, un « héros » qui fédère autour de lui pour combattre ce grand méchant, un couperet final attendu, une sorte de prophétie. Comme dans toutes les productions de Whedon, on a une équipe d’ami qui va se battre pour le futur.

Déception

La série manquant de mordant, elle a été programmé à des heures de faible écoute. Du coup, elle n’a pas duré. Deux petites saisons, forçant Joss Whedon à finir un peu vite. Et pourtant, le background construit aurait pu permettre une vraie bonne série, il a pris son temps dans la première mais du coup dans la seconde saison, ça va bien trop vite. Surtout le final qui manque un peu d’éclat. Heureusement le vrai final – l’épisode 13 – est assez épique car ça se passe dans le futur.

Duo sex

Les personnages sont comme d’habitude très travaillés, on est un peu perdu par moment car ils ont des personnalités différentes selon leur rôle défini En effet l’intrigue vient du fait qu’un petit génie à créer une machine capable de modifier la conscience, la remplacer, l’améliorer ou même la zapper, un peu comme quand on rentre dans la matrice mais là on reste dans la réalité. Les rebondissements sont fréquents, un peu trop dans la dernière saison, mais cette vitesse lui donne un rythme assez agréable finalement. On a une vraie fin de série, ce qui est vraiment rare pour Whedon. Et puis dans les épisodes avec Eliza Dushku, Summer Glau et Amy Acker (mais si la mignonne d’Angel) sont assez sexy pour mon esprit pervers, bref une série qui aurait pu être culte, mais faute d’audience on n’en verra jamais plus, d’autant plus qu’il y a une vraie fin.

à suivre

Commentaires

4 réponses à “[Série Pas Culte] Dollhouse de Joss Whedon”

  1. Bat00 dit :

    Je suis en plein visionnage de la saison 1. C’est plaisant mais il est dommage que Joss Whedon n’ai pas creusé un peu plus. Il aurait pu en faire une série un peu plus sombre, plus adulte. Le principe des poupées a un énorme potentiel pour alimenter plusieurs saisons. Pour l’instant, cette série me fait surtout penser à « Alias ».

  2. Pras dit :

    @Bat00 oui mais tu va voir la saison 2 est très « couillu » on s’éloigne d’Alias à ce moment là

  3. Nayka dit :

    Je l’ai fini y’a pas longtemps celle la, j’ai bien aimé. J’aurai aimé en voir plus !

    Pour continuer dans ta « sériophagie aigüe » , j’en profite pour te donner quelques noms de séries sur lesquelles j’ai bien accroché dernièrement :
    – Nurse jackie (infirmière droguée avec un sérieux sens de la répartie)
    – Damages ( avec Glenn Close )
    – Misfits (mais il me semble avoir vu un article dessus sur le blog)

  4. jayer dit :

    l’épisode 13 m’a complètement perturbé et j’avoue que l’univers post apocalyptique ce n’est pas trop mon truc… mais très intéressant dans le développement

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