Rocky, une saga qu’on présente presque plus, l’histoire d’un mec qui a trouvé le sens dans sa vie avec ses poings et son cœur. Le coté épique , un peu cliché des années 90 revient en 2016, mais le résultat est étonnant de modernité.
CREED
C’est l’histoire du petit Johnson, fils de Creed, c’est l’histoire d’un Rocky, qui a la boxe dans son ADN. C’est l’histoire de leur rencontre et c’est presque tout. Le film ne parle pas beaucoup plus d’autre chose. C’est d’une belle simplicité.
https://t.co/UhgJYMf3nV "One Step, One Punch, One Round at a Time" Oui j'ai adoré #creed pic.twitter.com/OEZ4hcOdq8
— Bonne Ambiance (@Praska) January 14, 2016
Le génie de ce film c’est qu’il arrive à allier nostalgie et modernité, un peu comme Star Wars VII, il fait plaisir aux fans de la saga et annonce un futur épique. La réalisation est tout de même un cran au-dessus, Creed est très très bien fait, les plans séquences des combats coupent le soufle, les références aux « Rocky » sont travaillés et modernisés. Là où J.J.Abrams a fait un hommage parfois plan par plan, R.Googler lui décide de la jouer subtil , dans un film de boxe, bien joué.
D’ailleurs les scènes de combat , même si elles sont magistrales, ne servent que de climax au propos. Ici celui de l’héritage, celui de Creed mais aussi celui de Balboa, Adonis doit accepter ces deux parts, ces deux pères. La musique est omniprésente , parfaitement bien intégré, encore un point positif de la compréhension de la saga Rocky. Un « Rocky » ça doit donner de l’énergie et ce Creed donne plus que cette énergie « One Step, One Punch, One Round at a Time »